Coucou,
Voici mes réceptions du mois de février pour lesquelles je remercie chaleureusement les attachées de presse ainsi que les maisons d’éditions.
Pour les curieux… voici les synopsis…
« Loup y es-tu? » MJ Arlidge
Dans les bois, personne ne vous entendra crier...
Quelque chose de mauvais hante les sentiers de New Forest. D'abord, ce sont des cadavres de chevaux sauvages démembrés. Puis ce sont des hommes et des femmes innocents dont les cris de désespoir résonnent encore entre les arbres. Mais personne ne les entend...
Traqués par une présence sans visage, les victimes sont transpercées de flèches et pendues aux chênes de la forêt. La détective Helen Grace doit faire face à un nouveau cauchemar. Pourquoi des campeurs sans défense sont-ils pris pour cible ? Que signifient leurs assassinats ? Est-ce un psychopathe ? La forêt demande-telle des sacrifices ?
Helen devra affronter les ténèbres les plus sombres pour résoudre son enquête la plus complexe et plus macabre à ce jour.
« 60 minutes » MJ Arlidge
2010. Alors qu'ils participent à une compétition sportive, cinq lycéens disparaissent dans les bois. Quatre d'entre eux réapparaîtront au bout de quelques jours. Ils auraient été séquestrés et torturés par Daniel King, un psychopathe. La cinquième membre du groupe serait morte. Le tueur, lui, semble s'être volatilisé dans la nature.
Une dizaine d'années plus tard, les quatre survivants ont réussi à surmonter tant bien que mal cette tragédie. Une nuit, l'un d'entre eux reçoit un coup de fil troublant. Une voix l'avertit qu'il ne lui reste plus qu'une heure à vivre. Si tout laisse penser qu'il s'agit d'une mauvaise blague, son corps sans vie est retrouvé le lendemain matin dans son appartement. Il a été étranglé.
Helen Grace mène l'enquête. Mais un nouveau coup de fil délivrant le même funeste message ne tarde pas à semer la panique parmi l'ancien groupe d'amis...
« La pluie attendra » Carole Duplessy-Rousée
Sur la côte bretonne, deux familles frappées par une malédiction : malheur à celui qui se rapprochera du clan ennemi. Alors qu'un drame vient de toucher les deux patriarches, Florence, l'une des filles de la lignée Auray, fait son retour aux Pierres-Noires pour enquêter. Entre secrets familiaux et légendes celtiques, elle fera la lumière sur un passé trouble...
Florence Auray vit au Conquet et mène une existence simple et heureuse, partageant son temps entre ses activités de pigiste pour les journaux locaux et la photographie, une passion nourrie par les somptueux paysages côtiers de l'Iroise et l'île d'Ouessant où elle aime aller se ressourcer.
À quelques kilomètres dans les terres, ses deux sœurs travaillent à la ferme familiale et supportent la lourde charge d'un père handicapé, veuf, et d'une grand-mère vieillissante. Florence vient parfois leur prêter main forte, pas assez, cependant, au goût de Margot, sa sœur aînée. Une dispute éclate entre elles quand Florence évoque le flirt caché de Sissi, la cadette, avec Arnaud Kerhuel, leur plus proche voisin. La grand-mère Sidonie s'en mêle. Jamais une Auray n'épousera un Kerhuel ! L'accident qui a tué Louis, le père d'Arnaud, et cloué Charles Auray dans un fauteuil n'a-t-il pas servi de leçon ? Faut-il que la malédiction frappe encore les deux familles ?
Une malédiction... Laquelle ? Intriguée, Florence fouille, interroge, se heurtant au silence de son entourage et aux menaces de Célestin, l'aîné des enfants Kerhuel. Mais, qu'importe le prix à payer, elle est prête à tout pour connaître la vérité...
« Les Amants de l’Exil » Édouard Brasey
Lisbonne, années 1930. Saudade et Rodrigo s'aiment sans se le dire ni même le savoir. Ils font partie des " gamins " du quartier populaire de la Mouraria, dédale de petites rues aux pentes abruptes baignées par une atmosphère indolente et ce fado qui serre les cœurs. Saudade est issue d'une famille de juifs marranes, Rodrigo est orphelin aux sympathies communistes. Lorsque survient la Seconde Guerre mondiale, le Portugal du dictateur Salazar choisit la neutralité tout en continuant à commercer avec l'Allemagne nazie. Lisbonne devient un nid d'espions mais aussi l'ultime espoir de quitter l'Europe pour des millions de réfugiés juifs.
Le conflit terminé, les jeunes gens se déclarent enfin leur amour, mais Rodrigo est arrêté par les sbires du régime et envoyé au bagne. Enceinte de son amant, contrainte par sa mère et pour sauver l'honneur, Saudade épouse le chef de la redoutable police politique sans savoir qu'il est le responsable de l'exil de Rodrigo. Lorsque ce dernier revient à Lisbonne, épuisé par des années d'incarcération et de torture, il propose à Saudade de s'enfuir avec lui, ignorant qu'elle est la mère de son fils et la femme de son bourreau. Confrontée à un terrible dilemme, Saudade n'ose pas lui révéler la vérité et renonce à le suivre. Ils se retrouvent en 1968 et cette fois, elle accepte de " faire le saut ", o salto, en émigrant clandestinement vers la France avec Rodrigo et leur fils. Mais n'est-il pas trop tard ?
« Masques » James Barnaby
Jeu de vie ou de mort dans la Sérénissime
Qui refuserait pareille invitation ? Dix jours tous frais payés au carnaval de Venise. Seule condition : se glisser derrière le masque des personnages de la commedia dell'arte. Mais les dix participants ne tardent pas à comprendre qu'en fait de jeu de rôle, chaque épreuve désigne une véritable victime et son meurtrier. Alice, historienne, refuse de céder à cet engrenage fatal : mais pour survivre, a-t-elle le choix ?
L'action se déroule de nos jours, en février, durant les dix jours du Carnaval de Venise au moment où se déclare un confinement lié à une pandémie inconnue. Dix personnes – cinq hommes, cinq femmes - ne se connaissant pas ont répondu à une invitation à assister au Carnaval tous frais payés dans un palais appartenant au mystérieux baron Corvo. La condition à remplir est d'accepter de se prêter à un jeu de rôle dans lequel ils devront incarner les principaux personnages masqués et costumés de la commedia dell'arte : Arlequin, Polichinelle, Pantalone, Colombine, etc. Des jeux éliminatoires auront lieu, et le finaliste recevra un prix d'une valeur inestimable. Par contrat, aucun ne peut se désister avant la fin, au risque d'en assumer les conséquences...
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