Titre: L'accro du shopping à la rescousse
Auteure: Sophie Kinsella
Saga: L'accro du shopping (T8)
Editions France Loisirs (Piment)
395 pages
Paru en 2017
Synopsis...
Entre L.A. et Vegas, de nos jours. Déçue par Hollywood, Becky a décidé de se recentrer sur l'essentiel : sa famille et ses amis. Et il y a urgence ! Car pendant que Becky comprenait dans la douleur que les coulisses de l'usine à rêves sont peu reluisantes, Tarquin, le mari de Suze, disparaissait, comme hypnotisé par un gourou New Age aux intentions pas très love and peace, tandis que Graham, son père, partait à la recherche d'un vieil ami détenteur d'un lourd secret. C'est donc dans un combi Volkswagen du meilleur goût que Becky, son époux, sa fille, Suze, sa mère et la meilleure amie de cette dernière se lancent on the road. Au programme : rodéo parties, foires d'art contemporain campagnard, et les paillettes de Vegas. Et à l'arrivée, pour notre accro préférée, une révélation : le shopping, c'est bien, la famille, c'est encore mieux...
Mon avis...
Ce dernier tome et le précédent auraient pu ne faire qu’un tout en étant très différents l’un de l’autre.
Au départ, rien ne va plus pour Becky qui voit sa meilleure amie s’éloigner de plus en plus. Un long voyage pour retrouver son père et Tarkie, mais aussi pour découvrir une vérité. Ce tome nous réserve bien d’autres surprises. Des révélations et des rebondissements inattendus. L’accro du shopping ne sera plus tout à fait elle-même pendant un temps mais, avec l’aide de ses proches, elle redeviendra celle que l’on a toujours connu en plus mature.
On y retrouve les personnages qui nous ont tant fait rire, auxquels on a pris le temps s’attacher. On les a vu faire des bêtises, grandir. Toujours en nous faisant rire tant ils ont chacun un petit côté fou (bien plus présent chez certains que d’autres).
J’ai du mal à me dire qu’il s’agit sans doute ici du dernier tome de la saga (sans qu’il soit impossible pour l’auteure de nous en concocter d’autres). Une saga coup de coeur qui m’aura accompagnée durant de nombreuses années (même si je l’ai perdue de vue pendant un temps) et des personnages que je suis triste de quitter.
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